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Hicham RAOUI

 
 
 
 
 

 

 

 

 
Classification: Serial killer
Characteristics: Rape - Alcohol
Number of victims: 3
Date of murders: February 2007 - January 2008
Date of arrest: March 17, 2008
Date of birth: 1976
Victims profile: Fatima Zahra Hajjaj, 20 / Nezha Mansar, 22 / Nawal Taâlabi, 22
Method of murder: Strangulation
Location: Settat, Chaouia-Ouardigha, Morocco
Status: Sentenced to death
 
 

À Settat (maroc) entre le 2 janvier 2007 et le 3 janvier 2008 Hicham Raoui, un alcoolique, viole et tue trois femmes. Il a été condamné à mort.

 
 

Un serial killer arrêté à Settat (Maroc)

Aujourd'hui Le Maroc

20 mars 2008

La police de la capitale de la Chaouia a mis la main, lundi dernier, sur un serial killer qui a tué, durant la même année, trois jeunes filles demeurant au même quartier.

Les habitants de Settat sont enfin soulagés. Dans l’après-midi du lundi dernier, les éléments de la police judiciaire de la capitale de la Chaouia ont mis la main sur un jeune homme, âgé de trente-deux ans, sans profession, accusé d’avoir commis un triple meurtre. S’agit-il d’un serial killer ? Une source policière de la ville n’a rien confirmé, arguant que l’enquête est toujours en cours. «Nous venons d’arrêter le mis en cause et nous le soumettons encore aux interrogatoires», a-t-elle précisé à ALM. Sans révéler de détails sur l’affaire, la même source a affirmé que le suspect n’avait pas manifesté la moindre résistance devant les enquêteurs et avait déballé facilement comment il a commis ses crimes. Ce repris de justice, qui a déjà purgé une peine d’emprisonnement ferme pour viol, n’a épargné aucun effort par la police pour le démasquer et ce dès la découverte du cadavre de la première victime.

Le premier cadavre a été découvert le samedi 11 février 2007, près du quartier des abattoirs. Il s’agit d’une jeune fille, âgée de vingt ans, demeurant au quartier Annahda. Quelques jours plus tard, le cadavre d’une autre jeune fille, âgée de vingt-deux ans, a été découvert sur la route nationale n°9. Cette deuxième victime demeurait également au même quartier que la première. Et pourtant, les investigations policières sont demeurées sans résultat.

Une situation qui a semé la terreur parmi les habitants du quartier Annahda en croyant qu’un serial killer ciblait leurs filles. Une année plus tard, le mardi 11 mars 2008, un troisième cadavre a été découvert dans une fosse couverte d’arbres située derrière le quartier industriel, non loin d’Oued Abou Moussa. À l’instar des deux autres jeunes filles, la troisième victime, âgée de vingt et un ans, demeurait au même quartier que les deux premières et jouissait d’une bonne réputation. Cette nouvelle victime qui poursuivait ses études à l’Institut de technologie appliquée est sortie de chez elle, l’après-midi du dimanche 9 mars et n’y est plus retournée. Sans nouvelles, la famille de la jeune fille a fait une déclaration à la police. Son père, qui était en voyage, est aussitôt retourné chez lui pour entamer une recherche minutieuse. Une recherche qui a été soldée par la découverte du cadavre de sa fille dissimulé à l’intérieur de la fosse du quartier industriel.

Le cadavre a été évacué vers Casablanca pour subir une autopsie à l’hôpital médico-légal. Entre-temps, des empreintes digitales qui entachaient son corps ont été prélevées par les enquêteurs scientifiques. Elles ont permis aux enquêteurs d’identifier l’auteur du crime et de l’arrêter. Mais, ils n’imaginaient pas qu’il serait l’auteur des deux autres crimes."

Un article d'Abderrafii ALOUMLIKI.

 
 

Hicham Raoui, le parcours peu ordinaire d’un tueur en série

Aujourd'hui Le Maroc

28 mars 2008

Né dans une famille déchirée et pauvre, Hicham Raoui n’a pu apprendre un métier. Aperçu sur un serial killer atypique.

Hicham Raoui est né un jour de 1976 dans la région d’Aïn Darbane, province de Settat. Il n’a jamais senti avoir eu d’affection paternelle. Ce benjamin d’une sœur et d’un frère a ouvert ses yeux dans une famille où le père était absent. Ce dernier a répudié sa mère alors qu’elle n’a pas encore accouché de lui. A l’époque, la maman répudiée ne bénéficiait pas du logement conjugal. Et la mère de Hicham a conduit ses deux bambins chez leur grand-père qui était gardien dans une école primaire. D’abord, c’est lui qui subvenait à leurs besoins. Alors que son père les a abandonnés sans penser à leur rendre visite. De douar Darbane, la famille a déménagé au quartier Al Amal. À son septième printemps, Hicham a été inscrit à l’école Tawhid. Malheureusement, il n’a pas pu aller au-delà de la cinquième année d’enseignement fondamental. Ce n’était pas son choix d’abandonner définitivement ses études. Certes, il rêvait aller jusqu’au bout. A défaut d’argent, de quoi acheter simplement les fournitures scolaires et les vêtements, sa mère et son grand-père n’avaient d’autre choix que de le mettre entre les mains d’un réparateur de bicyclettes et de vélomoteurs. Un métier qui ne lui a pas plu. Et il a rejoint un mécanicien, puis un tôlier. Il y a passé cinq ans. Bien qu’il ait appris ce dernier métier, il l’a abandonné en 1996. Il était à son vingtième printemps. Que voulait-il faire pour gagner sa vie et aider son grand-père pour subvenir aux besoins de sa mère, sa sœur et son frère ? Il est devenu un marchand ambulant et ce, jusqu’au 2003. C’est l’année à laquelle il a décidé de quitter Settat pour gagner sa vie ailleurs. À bord d’un autocar, il est arrivé au douar Khemiss Aït Aâmira, dans la région d’Agadir. Il s’est engagé dans le domaine agricole. Il n’y a pas passé que sept mois pour aller à la ville ocre, Marrakech.

Dans sa région, il a travaillé dans un moulin d’huile d’olive. Quelques mois plus tard, il a retourné à sa ville natale, Settat. Et il a repris son commerce ambulant. En fait, tous ceux qui le connaissent au quartier Al Amal où il demeure avec sa famille, au Souk Makro, Souk D’hab et Souk Chtayba où il exerçait son commerce, attestent qu’il était un jeune homme sans problème, discret et plus ou moins enfermé sur lui-même. Il ne fume pas et ne se drogue pas. Mais, en 2005, alors qu’il était à ses vingt-neuf ans, il a commencé à goûter les boissons alcoolisées.

« Quelques bières lui suffisaient pour se sentir libre et draguer les filles… », confie à ALM un jeune qui le connaissait au Souk D’hab. Était-il sous l’effet de l’alcool quand il a dragué, violenté et violé l’infirmière ? Oui, répond à ALM une source policière. Et s’il avait reconnu cet acte de viol contre elle devant la police judiciaire, il l’a nié devant la Chambre criminelle près la Cour d’Appel de Settat. Un démenti qui n’a pas convaincu la cour puisque le témoignage de l’infirmière était poignant. A la fin de l’examen de son dossier, la cour l’a condamné à un an de prison ferme. Le jeudi 7 février 2008, Hicham a achevé ses douze mois derrière les murailles de la prison. Maintenant, et après la découverte du triple meurtre, l’affaire prend une tournure encore plus grave."

Un article d'Abderrafii ALOUMLIKI.

 
 

Sur les traces du tueur en série de Settat

Aujourd'hui Le Maroc

28 mars 2008

À son trente-deuxième printemps, Hicham Raoui est devenu déjà un serial killer. Reconstitution du film du triple meurtre qui a bouleversé la ville de Settat.

Mardi 13 février 2007, à Settat, le ciel était brumeux. À la préfecture de police, il n’y avait que les policiers qui assuraient la permanence. Tout d’un coup, à la salle de trafic, le téléphone sonne. A l’autre bout du fil, l’interlocuteur lance une mauvaise nouvelle : le cadavre d’une femme en décomposition avancée a été découvert, pas loin du quartier des Abattoirs, près du souk Chtayba. La victime était vêtue d’une djellaba, alors que son pantalon et son maillot avaient été retirés. Qui est-elle ? Fatima Zahra Hajjaj.

Cette employée dans une société des câbles, âgée de vingt ans, a disparu depuis onze jours. Vendredi 2 février 2007, au soir, elle est retournée chez elle après une journée de labeur. Un quart d’heure plus tard, elle est sortie acheter un chargeur pour son téléphone portable. Mais, elle n’a plus donné signe de vie jusqu’à la découverte de son cadavre. D’abord, aucune trace de violence n’a été constatée sur son corps. Pour les enquêteurs de la PJ de la ville de Settat, une chose est certaine : Fatima Zahra a été violée. Son cadavre a été évacué vers l’hôpital médico-légal de Casablanca. Le rapport de l’autopsie a conclu qu’elle était uniquement sodomisée et est tuée par asphyxie mécanique. Autrement dit, son violeur lui a occlus la bouche et le nez pour la liquider. Mais qui est l’auteur du crime ? Mystère.

L’enquête policière n’a pas abouti à l’identifier, non pas parce que les enquêteurs n’avaient pas déployé assez d’efforts,  mais, parce que l’état de décomposition plus avancée du corps n’a pas permis au médecin légiste de prélever de traces de sperme ou d’empreinte digitale susceptible de leur faciliter la tâche.

Un mois plus tôt, avant la découverte du corps de Fatima Zahra Hajjaj, plus précisément, le mardi 16 janvier 2007, dans l’après-midi, une jeune infirmière, âgée de vingt-quatre ans est arrivée au commissariat de police. Elle était dans un état lamentable. Les larmes aux yeux, cette étudiante à l’Institut de formation des infirmières a déclaré aux enquêteurs qu’elle avait été violée par un «beau gosse».

Terminant les séances des cours de ce jour, elle a quitté l’institut pour emprunter son chemin habituel pour rentrer chez elle, au quartier Mabrouka. Quand elle est arrivée juste à côté de la Pizzeria, située au boulevard Hassan II, elle a été croisée par un jeune homme, colosse, charmant et bien habillé. Il s’est fait passer pour un inspecteur de police en tenu civile. Il lui a même décliné une carte où sont tracées obliquement deux lignes : l’une en rouge et l’autre en vert. En fait, il ne s’agit que d’une carte délivrée par un club de sport. Il lui a chuchoté deux mots mielleux et l’a invitée à boire une boisson. Elle a refusé. Et le ton doux a cédé la place à des mots vulgaires. L’infirmière l’a supplié de la laisser tranquille. En vain. Il est devenu plus agressif. Tournant sa tête à gauche et à droite, elle a eu le sentiment que la terre s’ouvrait pour absorber tous les gens qui l’entouraient. Elle s’est démenée pour desserrer l’étau de son bourreau qui l’étreignait, en vain. Elle est devenue comme un poulet. Il l’a conduite vers un terrain vague jouxtant souk Chtayba. Là, il l’a sodomisée atrocement avant de la libérer.

Elle a déposé plainte à la PJ de Settat. Trois semaines se sont écoulées. Sans résultat. Ce n’est pas par manque de compétence mais ce n’était qu’une question de temps, surtout que les fins limiers n’avaient pas assez d’éléments pour déterminer la piste convenable. En plus, la découverte du corps de Fatima Zahra Hajjaj les a intrigués. Vingt-deux jours après avoir déposé sa plainte (cinq jours après la disparition de Fatima Zahra et six jours avant la découverte de son corps), l’infirmière a croisé son violeur.

Rapidement, elle s’est rendue à la préfecture de police et a alerté la brigade qui se chargeait de l’affaire. Sans perdre du temps, ils l’ont accompagnée jusqu’au lieu où elle l’a croisé. Et ils l’ont arrêté, le 7 février 2007. Il s’agit de Hicham Raoui. Traduit devant la justice, il a été condamné à un an de prison ferme. Et si les enquêteurs de la PJ de Settat ont poussé un soupir de soulagement pour avoir mis la main sur l’auteur de viol, ils ne l’ont pas fait pour le crime du meurtre de Fatima Zahra. Son auteur était-il toujours en liberté ?

Nous sommes le mercredi 13 février 2008. Le cadavre d’une jeune fille a été retrouvé près d’une station d’essence, située pas loin de la route nationale n°9. La victime portait une djellaba. Son pantalon et son maillot étaient descendus jusqu’aux genoux. Le rapport de l’autopsie a conclu que la victime a été, uniquement, sodomisée et a été tuée par asphyxie mécanique. Tout comme le meurtre de Fatima Zahra Hajjaj. Qui est cette deuxième victime? L’enquête policière est arrivée à savoir qu’il s’agit de Nezha Mansar, âgée de vingt-deux ans, célibataire. Elle vient, cette année, de décrocher son diplôme de commerce à l’Institut spécialisé de technologie appliquée (ISTA). Interrogé par ALM, son père, un enseignant à l’école primaire Sidi Abdelkrim, a affirmé que sa fille était sortie de chez elle, vers 16 heures, lundi 11 février. Elle avait l’intention d’aller à la Poste pour chercher quelques lettres réponses auprès des sociétés auxquelles elle avait envoyé des demandes d’emploi.

Son père s’est interrogé sur le fait que le cadavre de sa fille avait été découvert dans un lieu qui n’a aucun rapport avec le trajet qu’elle avait l’intention de parcourir entre son domicile et la Poste ! Aurait-elle été conduite par son meurtrier sous la menace d’arme blanche ? Seul le meurtrier dispose de la réponse. Où est-il ? Les enquêteurs de la PJ de Settat se sont lancés, dans une course contre la montre, pour élucider ce nouveau meurtre. Surtout que Nezha et Fatima Zahra ont été assassinées de la même manière après avoir été sodomisées. Ont-elles été tuées par la même personne? Si oui, qui est le meurtrier? Pour le chercher, les enquêteurs ont ciblé les repris de justice qui avaient déjà purgé des peines d’emprisonnement pour viol. Hicham Raoui qui avait écopé d’une peine d’un an de prison ferme pour le viol de l’infirmière en fait partie. Il a été interpellé, dimanche 17 février, dans l’après-midi. Un échantillon de sa salive lui a été prélevé pour être soumis à l’analyse ADN. Il a été même photographié avant d’être libéré puisqu’il n’y avait aucune preuve qui le  met en cause. En effet, les éléments de la police judiciaire de Settat ont fourni tous leurs efforts pour élucider ce nouveau meurtre. Leur chef qui avait chapeauté l’enquête, en 2004, à Taroudant sur l’affaire du meurtre de neuf adolescents, élucidée par l’arrestation du pédophile et tueur en série Abdelali Hadi, aurait pensé être devant un tueur qui n’est pas ordinaire, qui peut être un serial killer. Une hypothèse qui a commencé à se confirmer par la découverte, mardi 11 mars, du corps d’une troisième jeune fille. Il s’agit de Nawal Taâlabi, âgée de vingt-deux ans, étudiante à l’Institut spécialisé de technologie appliquée. Tout a commencé le dimanche 9 mars, quand elle a accompagné sa sœur, une pharmacienne qui séjourne chez sa tante paternelle. Selon cette dernière, quand elles sont arrivées juste à côté du Kissariat Chaouia, un kilomètre et demi loin de chez ses parents, elle lui a demandé de retourner chez elle tout en lui remettant une pièce de dix dirhams. Elle l’a sollicitée pour prendre un petit taxi.

Malheureusement, Nawal lui a répondu qu’elle allait retourner chez elle à pied. Vers 21 h 19, la pharmacienne a téléphoné à Nawal. Toujours selon la sœur de Nawal, cette dernière lui a répondu sur un ton faible. Quand elle lui a demandé de rentrer chez elle, le téléphone cellulaire a été raccroché. Depuis, son téléphone ne répond plus. La famille a avisé le père qui était à Nador. Ce dernier a pris l’autocar, lundi soir, pour arriver à Settat, mardi matin. Son sens de père l’a conduit sur un terrain vague, jouxtant Oued Ben Moussa. Mais quelle ne fut sa surprise quand il a découvert le corps de sa fille sans âme dans une fosse recouverte de plantes sauvages. La police judiciaire s’est dépêchée sur les lieux pour effectuer les premiers constats d’usage. Ils ont remarqué que Nawal a été non seulement sodomisée, mais perdu sa virginité aussi. Aussitôt, les éléments de la scène du crime ont prélevé un échantillon de la salive de la jeune fille et une goutte de sperme qui maculait sa joue gauche.

L’échantillon a été envoyé au laboratoire scientifique et technique de Casablanca. Alors que le corps de la victime a été évacué vers l’hôpital médico-légal de la même ville. Le rapport de l’autopsie a conclu que la défunte avait été sodomisée, comme dans les deux autres cas, à ce ceci que Nawal a perdu sa virginité. Alors que le rapport de l’analyse de l’ADN et de sa comparaison avec ceux prélevés sur les repris de justice qui ont été interpellés après la découverte du deuxième corps a donné aux enquêteurs la clé de l’énigme de ces crimes. Comment ? Il s’est avéré que  l’ADN ressemble à celle de Hicham Raoui. Rapidement, il a été arrêté et soumis aux interrogatoires. Il a avoué être bel et bien le tueur des trois jeunes filles. Il a reconnu les avoir racolées. Et chacune d’elles l’a accompagné de plein gré jusqu’au lieu où leurs corps ont été découverts. Il a précisé, à titre d’exemple, que sa deuxième victime était en compagnie d’une fille et deux garçons. Il semble qu’elle ne s’est pas familiarisée avec le deuxième garçon, a-t-il précisé. Raison pour laquelle elle a préféré marcher loin d’eux. C’était le moment où il s’est approché d’elle et l’a incitée à l’accompagner. Séduisant et charmant, il lui plait. Et elle l’a accompagné jusqu’à la RN n°9 près d’une station d’essence. Selon ses déclarations, il aurait racolé également sa troisième victime. Cette dernière l’a accompagné même à bord d’un petit taxi jusqu’à la route donnant sur le terrain vague jouxtant Oued Ben Moussa. Tout comme sa première victime. Il a ajouté qu’il préfèrait la sodomisation, mais il ne sait pas pourquoi il finit par étouffer ses victimes. Et pourquoi il n’a pas liquidé l’infirmière ? Il l’a relâchée quand il a entendu un bruit. Un bruit qui a sauvé une vie contre un plaisir qui enterre d’autres !

Abderrafii ALOUMLIKI - Aujourd'hui le Maroc

 
 


Hicham Raoui

 

 
 
 
 
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